Notre précédent n° d’Au gré du Vent vous avait laissé au cœur des richesses naturelles et végétales de la Guadeloupe, que nous commencions tout juste à découvrir avec passion.
Et puis, comme pour tous, ce confinement, dont nous n’avions pas imaginé un instant devoir faire notre quotidien deux longs mois durant, nous est tombé sur la tête un bon matin, sans crier gare.
Ce confinement nous a privé de ce qui fait l’essence même de notre voyage, la LIBERTE d’aller de de venir comme bon nous semble, au gré du vent et de nos envies.
Alors si nous avons essayé de faire tout au long de ces 8 semaines contre mauvaise fortune bon cœur, notre quotidien n’a pas toujours été facile et serein.
Et encore aujourd’hui, nous ne sommes qu’à moitié déconfinés ! Car nous n’avons toujours pas la possibilité de naviguer librement, la plupart des îles de la Caraïbes étant toujours fermées aux voyageurs.
Les perspectives des mois à venir sont donc encore très floues et nous contraignent à avancer à vue au gré des informations sporadiques qui nous parviennent jour après jour.
Nous vous proposons donc de revenir sur cette escale très particulière de notre voyage, sur cette croisière immobile et solitaire dans le lagon bleu de Pointe à Pitre qui nous a tout de même conduit jusqu’au beau mouillage de Ste Anne en Martinique où nous allons désormais vivre quelques temps.
Pour découvrir notre lettre Au gré du vent n°13, c’est par ici !